© Carambar
Jusqu’au 3 mai, la marque de confiserie récolte les vieux francs pour la bonne cause avec une opération spéciale Blague à 1 Franc.
Malgré le passage à l’euro en 2002, il resterait plus de 4,7 milliard de Francs perdu dans la nature, soit plus de 726 millions d’euros ! Est-ce le butin d’un fétichiste des francs, conservé dans l’espoir qu’un jour la France reviendra aux Francs ou simplement le fait qu’à nous tous nous sommes riches ?
1 Franc, 1 tweet et 1 photo = 1 Carambar
Ce constat a poussé Carambar et l’agence Fred & Farid à lancer l’opération Blague à 1 Francs. Le concept : transformer les francs en sourires. Ainsi, jusqu’au 3 mai, le confiseur troc nos petites pièces contre ses délicieux caramels mous afin de les convertir en euros et les remettre à l’association Le Rire Médecin, première association de clown professionnel à l’hôpital.
Pour participer à cette opération caritative et gourmande, il vous suffit de dénicher vos francs oubliés et de vous rendre dans les boulangeries partenaires ou directement au truck Carambar qui va partira de Paris le 8 avril, fera escale à Lyon le 11 avril avant de s’arrêter à Marseille le 13 avril. Cherchez bien, c’est pour la bonne cause et vos pièces seront plus utiles pour faire rire les enfants qu’au fond de votre tiroir !
Les Francs récoltés convertis et reversés à l’association Le Rire Médecin
Les plus sentimentaux, qui ne souhaiteraient pas se séparer de leurs pièces fétiches pourront se contenter d’envoyer une photo avec une pièce de 1 Franc sur le site www.blaguea1franc.fr et recevront un Carambar directement dans leur boîte aux lettres.
Et si malgré une recherche assidue et des efforts acharnés vous n’avez pas réussi à mettre la main sur une seule pièce d’un franc, il vous reste encore la possibilité de tweeter votre meilleure blague via le hashtag #BlagueA1Franc : pour chaque tweet effectué, Carambar fera un don à l’association.
Une opération qui va faire parler d’elle et qui s’illustre parfaitement dans cette vidéo de présentation diffusée par la marque :
© Nelly SEILER